Une fois de plus, ce sont les femmes actives et élevant seules leurs enfants qui semblent devoir le plus pâtir de cette rentrée reportée puis en « hybridation renforcée ». Les enfants n’allant en classe que quelques heures dans la semaine, elles sont condamnées à trouver des modes de garde à tout prix. Nous avons recueilli le témoignage de deux d’entre elles.