En préalable méthodologique, il apparaît en effet que, avec un risque d’erreur de 5%, les résultats diffèrent entre les répondants du public et ceux du privé pour cinq variables de l’enquête :
• A mis en place le télétravail/»Oui» (remarque : quand on agrège les «Oui» et les «Non mais un projet est en cours», les résultats ne diffèrent plus).
• Non > Principales raisons > «Choix politiques» et «Métiers non éligibles».
• Oui > Principales raisons > «Améliorer la QVT».
• Depuis quand l’avez-vous mise en place > «Phase de test» et «3 ans et plus».
• Diriez-vous que le télétravail influe sur le mode de management > Si oui, en quoi > «Positivement pas des instructions plus précises».
Pour toutes les autres variables, avec un risque d’erreur de 5%, on ne peut pas rejeter l’hypothèse d’une égalité entre les proportions dans les deux échantillons.
Autrement dit, à 95% de chance de ne pas se tromper, on peut avancer que les observations sont les mêmes dans les collectivités et dans les entreprises interrogées.
En revanche, pour les cinq variables citées ci-dessus, on peut supposer qu’il y a une différence statistiquement significative entre le privé et le public.
Ce travail ayant vocation également à servir de boîte à outils pour tous ceux qui souhaitent mettre en œuvre le télétravail, il s’agira au travers de cette note de synthèse, de revenir sur quelques fondamentaux :
• Comment appréhender le télétravail vu du management ?
• Quel retour d’expérience sur les bénéfices en termes d’amélioration de la qualité de vie au travail ?
• Quelles conséquences sur l’organisation ?
• Quels sont les leviers de compétence sur lesquels il faut agir ?
• Peut-on faire preuve d’innovation en la matière ?
• Quelles sont les difficultés repérées et les voies de recherche éventuelles.
Il ne s’agira pas en revanche d’être un vade mecum de plus sur la mise en place du télétravail. On se référera à cet effet, et bien plus utilement, aux outils déjà existants
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